Le règlement taurin en vigueur depuis 1972, dans les cinquante villes membres de l’UVTF, est opposable aux organisateurs et aux acteurs du spectacle.
À partir de 2008, l’UVTF, avec l’Observatoire National des Cultures Taurines (ONCT), a mené les actions qui ont abouti à l’inscription de la tauromachie au Patrimoine Culturel Immatériel (PCI) en 2011 et à l’arrêt du Conseil Constitutionnel qui, en 2012, a jugé que l’exception culturelle dont bénéficie la Tauromachie dans les régions de tradition est conforme à la Constitution.
Deux décisions qui offrent à la tauromachie une protection définitive dans le cadre de la loi actuelle.
Depuis 2015, l'UVTF s'est engagée, aux côtés de l’ONCT, l’UVTF s’est engagée dans un plan d’action culturelle, afin de faire connaître les valeurs d’une culture aujourd’hui contestée, comme le sont toutes les activités humaines liées à l’utilisation de l’animal, l’élevage et la chasse notamment.
Le « Musée Itinérant des Tauromachies Universelles » est devenu depuis la vitrine du monde taurin au niveau mondial.
En 2016, aux côtés de l’ONCT, l’UVTF a organisé au Sénat le colloque « L’Homme et les animaux : vers un conflit de civilisations ? ». L’occasion, pour tous les secteurs agressés de manière discriminatoire par l’idéologie végane et animaliste, d’exprimer leurs préoccupations au sommet de l’État.
Le lendemain, les maires des sept principales villes taurines françaises ont ratifié au Sénat la « Charte pour les libertés et la diversité des cultures », largement diffusée depuis au sein du monde politique par le mouvement citoyen Esprit du Sud.